jeudi 14 décembre 2017

Maison a vendre a cotonou

Au BENIN, le marché immobilier fait son petit chemin. Les offres de maisons ou biens immobiliers sont de plus en plus nombreuses à Cotonou, la Capitale économique du BENIN.
Les demandes d'achat sont de plus en plus concentrées sur les localités environnantes de Cotonou. De ce fait, le constat est clair; l'immigration progressive de la population de Cotonou vers les campagnes ou vers les zone reculées de Cotonou. Ainsi les agences immobilières deviennent subitement nombreuses et si vous cherchez une agence immobilière, vous n'aurez aucune difficulté à en trouver.

mardi 12 décembre 2017

Diminuer le taux de mortalité au CNHU de Cotonou

En référence à mon article précédent, voici une des solutions que nous proposons à qui de droit : Diminuer le taux de mortalité au CNHU de Cotonou :
Pour être sûr de pouvoir réellement diminuer le taux de mortalité au CNHU, le gouvernement doit tout faire pour maitriser les mouvements de grève à répétition au CNHU comme il en a fait avec succès aux mouvements estudiantins du campus.
Pour réussir dans le cas du CNHU, le gouvernement doit instaurer un décret qui lui donne droit dans un 1er temps d’amputer le salaire de tous les grévistes du CNHU selon le nombre d’heures de grèves dans le mois s’il juge une grève fantaisiste et non nécessaire. " De la dictature !٭ dirons certains.
NON, la vie de tout un peuple ne peut pas être marchandée contre de l’argent. Du moment où ces médecins et infirmiers ont le nécessaire pour vivre et faire vivre leur famille, c’est largement suffisant. Si vous entendez le montant de leurs salaires, vous serez d’accord avec moi qu’ils ont le nécessaire pour vivre et mieux et en plus, ils ont presque tous leurs cabinets privé où ils reçoivent les patients en privé.
Est-ce pour cela qu’ils négligent leur travail au CNHU et font passer la rage de la mort sur les pauvres béninois qui n’ont pas l’intuition d’aller se faire soigner dans un de leurs cabinets privés ?
Dans un 2ème temps, pour réussir, le gouvernement doit se donner la force et le pouvoir de pouvoir traduire en justice pour homicide volontaire les grévistes de CNHU si dans la période de leurs grèves survient le décès de malade.
La dernière possibilité est de se désengager totalement du CNHU en le confiant à la privées ou association ou groupes par appel d’offre international.
Trop c’est trop, le CNHU a ses mains souillées du sang innocent. Que le gouvernement se lève et mette fin à cette effusion de sang innocent au CNHU.

lundi 4 décembre 2017

Le CNHU tue volontairement ses patients

Le Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou MAGA de Cotonou, un centre de santé dit " de Référence " au BENIN, ce centre symbolique n’a plus aujourd’hui la mérite de cette réputation de Référence, car des soupçons de négligences notoires de la part du personnel soignant (médecins, infirmiers et auxiliaires) surgissent chaque jour que DIEU fait au point où des têtes bien pensées surgissent l’idée de la privatisation de ce Centre National de santé qui a totalement perdu son utilité. OUI, ce centre a perdu son utilité raison pour laquelle des patients quittent leur pays le BENIN pour se faire soigner dans les pays voisins : LOME au TOGO en 1er, puis le Ghana, la Côte-d’Ivoire,…etc.
Comment comprendre que le BENIN soit incapable de soigner un patient qui va se faire soigner au TOGO tout prêt ? Et pourtant, le Togo n’est pas un pays occidental, ni un pays plus développé que le BENIN !
Si ces genres de cas se posent, nous devons nous poser la question sur la qualité des soins qu’offrent le personnel soignant béninois au BENIN, notamment au Centre de santé Hubert K. MAGA (CNHU).
Depuis un bon moment déjà, le CNHU est réputé pour des grèves fantaisistes donnant ainsi l’occasion à la mort de ramasser les personnes ayant la malchance d’atteinte d’une maladie grave qui nécessite l’usage d’un certain nombre d’appareillage disponibles qu’au CNHU.
Pour rappel, le personnel de CNHU a obtenu trop de largesse auprès du gouvernement passé avec des primes colossales. Les voici encore aujourd’hui entrain d’agiter le battons de malheureux personnel soignant en tuant volontairement par cet acte les paisibles populations des villes et campagnes qui ont le malheur d’être dirigés vers ce centre qualifié de ‘’Centre de mort’’ par la majorité de béninois.
Voici un cas parmi tant d’autres au CNHU :
Pour un scanner abdominal effectué à Mr A…………………………………………… au CNHU le 30 Octobre 2017, un mois après, c’est-à-dire le 1er Novembre 2017 le résultat n’est toujours pas disponible. «Revient la semaine prochaine», a lancé la secrétaire à Mr A……………………., alors que le résultat du scanner est censé être disponible une semaine après l’avoir effectué.
Dans cette intervalle de temps, voyez le nombre de personnes qui sont concernées et s’il des cas graves, voyez vous-même ce qui adviendrait pour ces cas graves !
Le gouvernement doit revoir le CNHU et si possible, le privatisé illico.
Les agents du CNHU ont oublié le serment qu’ils ont prêté devant DIEU et devant l’humanité.

Le gouvernement doit poursuivre le personnel gréviste pour homicide volontaire

le gouvernement doit tout revoir du côté des agents du CNHU et siffler la fin de la pagaille que sèment ces agents et si possible, le gouvernement doit les poursuivre pour homicide volontaire et pour cela, ils doivent faire la prison et perdre leur job.
Pour les décès enregistrés lors de chaque grève, le gouvernement doit poursuivre le personnel soignant pour homicide volontaire.

mardi 23 mai 2017

Un des Rois du BENIN en visite officielle en Martinique


Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin , c’est son nom, ce fut suite à une invitation adressée par les associations martiniquaises Shakti et Mel Makrel dans le cadre de la journée de l'abolition de l'esclavage en Martinique que le roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin s’est rendu en Martinique dans la ville de Basse-Pointe ce jeudi 18 Mai 2017 où il aura a passé une semaine entière.

Au cours de son séjour, le souverain roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin a eu plusieurs entretien avec les associations socio-culturels, les élevés, les écoliers et notamment avec le maire de la ville hôte Mme Marie-Thérèse Casimirius mais aussi avec le député Bruno-Nestor Azérot. Plusieurs questions sociales, culturelles, éducatives et surtout historiques ont été abordés notamment sur la traite négrière.

Le roi a ensuite exhorté les martiniquais et martiniquaises à se réconcilier avec leur continent mère qui est et demeure l’Afrique tout en les demandant d’être fiers de la couleur noire de leur peau puis poursuivant en les rappelant que les africains furent les premiers occupants de toute la terre.

« La race noire est la mère de toutes les races, soyez fiers d'être noirs, je prie pour vous tous et je vous bénis au nom de Dieu »

Répondant aux questions des élèves venus en chœur à sa rencontre, Sa majesté le Roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin disait : « Ce n'est pas une volonté mais un long cheminement pour y parvenir car je suis né d'une famille princière »

lundi 22 mai 2017

Libération des espaces publiques : S’était-ce une peine perdue ?

Quelques mois après le déguerpissement forcé des espaces publiques, force est de constater aujourd’hui que la plus grande parties des espaces libérées sont encore vierge et que des herbes poussent à d’autres endroits et que certains domaines sont repris progressivement par les riverains qui autrefois étaient chassée par la police et ou la gendarmerie.

Les bords des artères principaux de Cotonou sont quasiment repris tous les soirs voir la journée sous l’œil impuissant des forces de l’ordre. Parmi les espaces progressivement repris, nous pouvons citer les bordures du tronçon station St Michel et pharmacie 4 thérapies sans oublier Kouhounon et le passage piéton du terrain kouhounou jusqu’à l’étoile rouge. Plusieurs d’autre endroit sont en voie de reprise par la population.

Ceci n’est pas une surprise, mais plutôt une certitude puisque les espaces libérés sont restés sans aucun signe d’un début de quelque réalisation que ce soit alors que la nature a horreur du vide.

Nous invitons ici nos autorités à tout mettre en œuvre pour que le projet au profit duquel les espaces publics ont été libérés puissent réellement démarrer afin d’éviter la réoccupation et le déguerpissement forcé des populations.

Vive le BENIN


mercredi 17 mai 2017

BENIN: Grève non tenue à l’aéroport International Bernadin Gantin de Cotonou


La grève prévue pour ce mercredi 17 mai 2017 n’a pas eu lieu et pour cause les démarches du ministre des transports envers les syndicats ont porté leurs fruits.

Pour rassurer les uns et les autres, le ministre des Infrastructures et des transports Mr Hervé Hehomey a eu à déclarer au cours d’une rencontre tenue avec la presse à cet effet ce qui suit : « Toutes les dispositions ont été prises par le gouvernement afin que la situation soit maîtrisée ».

Il a ensuite rassuré les compagnies aériennes et tous les passagers de ce que les vols départ et arrivée enregistrés, ainsi que toutes autres activités se dérouleront sans anicroche ce mercredi, sur toute la plateforme aéroportuaire de Cotonou. Le gouvernement, en accord avec l’instance supérieure qu’est l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna) à Dakar, a pris toutes les dispositions utiles pour garantir aux compagnies aériennes et aux passagers, la sérénité totale dans le déroulement des activités de l’aviation internationale de Cadjèhoun, à en croire le ministre. L’autorité a déploré « la médiocrité dans laquelle se déroulent les activités aéroportuaires ». Une situation face à laquelle le Gouvernement du président Patrice Talon a pris la forte et idoine décision de confier la gestion de l’aviation à un concessionnaire, un professionnel, par un recrutement organisé en bonne et due forme, d’après Hervé Hèhomey qui n’entend pas reculer. « Aucun Béninois n’est fier de la manière dont est géré notre aviation », dira-t-il pour appeler les travailleurs à revoir leur position actuelle dans l’intérêt général du pays.

Ce mouvement de grève de 48 heures a été décrété par les agents du transport aérien réunis au sein du Syndicat national des travailleurs de la météorologie et de l’aviation civile (Synatramac), et ceux des Syndicats Unis des Travailleurs de l’Aviation Civile et de la Météorologie (Sutracim). Ils l’ont fait savoir le jeudi 11 mai 2017 au terme d’une assemblée générale extraordinaire tenue par ces syndicats au siège de la représentation de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne (Asecna) au Bénin. Pierre Gnangnon, Secrétaire Général Adjoint du Synatramac, François kpedotossi et leurs camarades ne sont pas d’accord avec le Gouvernement qui s’apprête à signer un contrat de délégation de gestion des activités aéronautiques nationales du Bénin. Ils dénoncent aussi leur marginalisation dans cette procédure. Pour eux, pas question d’attribuer la gestion à un concessionnaire étranger, sans la présentation au préalable du rapport du comité ad’hoc sur les travaux préparatoires au changement du mode de gestion des activités aéronautiques nationales. Selon eux, il s’agit d’un blocage des acquis sociaux des travailleurs de la Délégation aux activités Aéronautiques Nationales (Daan), de l’Asecna au Bénin. Ils veulent une seule chose : l’annulation pure et simple de la procédure d’appel d’offres de mise en concession de l’Aéroport International Cardinal Bernardin Gantin de Cadjêhoun.

mardi 18 avril 2017

Avril 2017, Le BENIN sur la liste des pays trafiquant de le cocaïne au Monde

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Les autorités américaines viennent de mettre le BENIN sur la triste liste des pays narcotrafiquant de drogue au monde.
IL (le BENIN) vient de faire partie d’une liste de douze pays africains dont l’Afrique du Sud, l’Algérie, le Cap Vert, l’Egypte, le Ghana, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Maroc, le Nigeria, le Sénégal et la Tanzanie.
Face à ce constat fait, le Département d’ ETATS Américain a dû placé le BENIN et consorts sous la surveillance particulière du Narcotics Contrôl Bureau.
Cette sanction américaine infligée par les autorités américaines ne sera pas sans conséquence. Elle agira à cours sûr sur la nouvelle demande de visa pour le pays de l’Oncle.
Notons que les ETATS-UNIS s’oppose depuis longtemps aux narcotrafiquant oû qu’ils soient dans le monde. Prochainement, les USA réfléchiront par deux fois avant d’octroyer un visa à un béninois.

vendredi 14 avril 2017

Sébastien ADJAVON convoque l'ETAT béninois en justice



En novembre 2016, l'ancien candidat à la présidentielle et homme d'affaires était dans le box des accusés car 18 kg de cocaïne avaient été retrouvés dans un conteneur appartenant à sa société. Aujourd’hui, c’est lui qui attaque l’État béninois pour avoir attenté à ses droits et à sa réputation. Un préjudice qu’il évalue à 250 milliards de francs CFA, soit 380 millions d'euros.

Il n’y va pas de main morte. Dans la même semaine, Sébastien Ajavon soumet l’État béninois à deux assignations coup sur coup. En effet, le mardi 4 avril 2017, il porte une première plainte devant le tribunal de première instance de Cotonou pour « dénonciation calomnieuse tendant à nuire à sa réputation » dans l’affaire des 18 kg de cocaïne découverts dans un des conteneurs de sa société Comon Cajaf au port de Cotonou.

Dans sa plainte déposée contre X, l’opérateur économique fustige notamment le fait d’avoir été arbitrairement détenu à la Compagnie de gendarmerie de Cotonou durant toute une semaine. Selon ses avocats Maîtres Yaya Pognon et Issiaka Moustapha, toute cette « manœuvre tendait à salir principalement son image de marque ».

La même semaine, toujours via ses deux avocats, le roi de la volaille a saisi la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) concernant des dysfonctionnements dans la procédure : son arrestation au port, sa détention par la Compagnie de gendarmerie, jusqu’aux agissements du Parquet de Cotonou.

le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité

L’homme d’affaires estime que ses droits ont été violés, notamment le droit à un procès équitable garanti par l’article 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Par exemple, pour les avocats, la prorogation de la garde à vue de Sébastien Ajavon a été décidée « sans preuve ». Au-delà de la violation de ses droits, le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité vis-à-vis de ses partenaires d’affaires et que cela a eu pour conséquence le ralentissement de ses activités commerciales.

L’homme d’affaires évalue tout le dommage qu’il en a subi à la somme de 250 milliards de francs CFA. Au point que, en février, il avait quitté le conseil d’administration du groupe qu’il a fondé, Comon SA, pour préserver l’image de son entreprise.
« La main de l’exécutif a pesé »
Pour ses avocats, « il est sans équivoque que la main de l’exécutif a pesé dans le dossier. Et cette main avait un seul objectif : écarter un rival politique devenu trop gênant puisque trop populaire ».

Du côté du gouvernement, on se refuse à tout commentaire. Même si les journaux réputés proches de la présidence ont vertement dénoncé cette procédure judiciaire engagée par Ajavon, l’accusant de vouloir se nourrir des les maigres ressources de l’État, ou lui rappelant opportunément le « pardon » qu’il a accordé la nuit de sa libération sur les parvis de l’église St Michel de Cotonou.

L’affaire des 18 kg de cocaïne avait été jugée le 4 novembre 2016 par le tribunal de première instance de Cotonou. Au terme d’une audience de plus de 10 heures, Sébastien Ajavon avait été relaxé pour « insuffisance de preuves » et « au bénéfice du doute ». Cette affaire avait mis au grand jour la déliquescence des relations entre les deux alliés de la dernière présidentielle au Bénin en 2016.

Arrivé en troisième position au premier tour de ce scrutin, Ajavon, en faiseur de roi, avait soutenu Patrice Talon, l’actuel président béninois contre un accord de participation à la gestion du pays. Un accord qui lui garantirait, entre autres, la moitié des postes ministériels ; mais il n’obtiendra que trois ministères (communication, agriculture, enseignement secondaire) sur lesquels il n’a aucune mainmise puisque ces derniers sont « gérés depuis la présidence ».

Le précédent Talon/Yayi
Dans la conscience collective à Cotonou, les dommages et intérêts salés demandés par Sébastien Ajavon rappellent la sentence rendue par la Cour commune de justice et d’arbitrage d’Abidjan le 13 mai 2014.

L’État béninois avait été condamné à verser 142 milliards de francs CFA à un certain Patrice Talon dans le cadre d’un contrat lié au Programme de vérification des importations (PVI), unilatéralement annulé par le gouvernement de Boni Yayi.

Officiellement, Talon a renoncé à récupérer son dû. L’histoire nous dira si Ajavon aura, éventuellement, le même fair-play vis-à-vis du Trésor public du Bénin.


Source: Jeune Afrique

mercredi 5 avril 2017

L’Etude du projet de révision de la Constitution rejetée par l’Assemblée Nationale





Depuis des lustres, alors que le président TALON faisait de ce projet de révision de la constitution est une priorité, les béninois par la voie de leurs élus à l’Assemblée ont rejeté ce projet qu’il dorlotait depuis son accession au pouvoir il y a 1 an.

Jusqu’à un passé récent encore, les béninois croyait que le président TALON avait réussi à ranger de son côté la majorité des députés de notre Assemblée.

Force était de constater depuis ce mardi 04 Avril 2017 que les choses ne s’étaient plus passée comme aurait souhaité le président Patrice TALON.

Mais, que s’est-il passé en réalité pour qu’on en arrive à la volonté contraire de celle du président ?

A notre seul avis, ce qui aurait le plus jouer dans le rejet de l’étude de révision serait tout d’abord

1) la démission du célèbre ministre Mr Candide AZANNAI qui a toujours été le principal soutien du président Patrice TALON bien même avant son élection à la tête du BENIN et qui est l’un des hommes les plus écoutés par la population et ces paires politiciens.

2) La 2ème raison probable serait l’accusation toute chaude de l’honorable Rosine SOGLO contre les honorable qui auraient pris de l’argent afin de voter en faveur de la révision de notre constitution. Que cette accusation soit vraie ou fausse, elle aurait joué un grand rôle psychologique en faveur du rejet de ce projet de loi.

Rappelons que lors du vote à l’Assemblée, 60 parlementaires ont voté pour, 22 contre et une abstention.
Pour que le dossier puisse être étudié, il doit falloir une majorité des 3/4 soit 63 parlementaires, ce qui n’a pas pu être le cas ce mardi à l’Assemblée Nationale.
Puis juste après ce vote soldant sur la victoire des antirévisionnistes les députés exigent des excuses publiques de l’honorable Mme Rosine SOGLO.
Quel est le contenu de son accusation de corruption à l’encontre de ses pairs députés ?


Voici une transcription de cette accusation :

« Vous venez mentir ici et dire le contraire de ce que le peuple vous a dit. Ça ce n’est pas bien, ‘’égnon ah’’. Ce n’est pas bien du tout. Vous oubliez. Je sais que les réseaux sociaux, il ne faut pas les écouter, parce que là aussi oh mon Dieu ! Qu’est-ce qu’on ne raconte pas comme connerie ! Mais tout de même, nous savons ce qui se passe dans le peuple, nous savons ce que le peuple vous a dit, nous le savons. Pourquoi venir mentir ici ? Le peuple ceci, le peuple cela. C’est votre droit le plus absolu de voter pour. Le peuple n’a rien à dire. Vous avez dit je vote pour telle raison, j’ai le droit, c’est votre droit de voter pour.
Personne n’a rien à dire contre ça, personne. Mais ne venez pas ternir la vérité. Je sais que notre libre arbitre pour terminer monsieur le président parce que… je m’échauffe, je m’échauffe ; comme d’habitude, chassez le naturel, il revient au gallot. Pourtant comme disent mes petits-enfants, granini à ton âge, mais tu dois quand même te calmer ! Mais qu’est-ce que tu as ?
Et ils ont mille fois raison. Mais c’est quoi ! à 83 ans tu fais encore tout ça ! Alors cela étant, je dis que notre libre arbitre a été altéré par un achat massif de notre conscience. Je comprends que c’est ça qui prend dessus et votons et votons et gnangnan et gnangnan ! … Les quelques millions que nous avons reçus, ah oui ! Ont pris le dessus sur le reste ! Alors taisons-nous, votons et n’en parlons plus. Je préfère ça, je préfère ça. Car moi aussi j’ai reçu d’argent. Oui ! Tout le monde. Vous n’allez pas me dire le contraire. S’il y a des changements notables, je suis prête à voter la Constitution, mais sinon, c’est non. Pour le moment, c’est non. Monsieur le président, je vous remercie. ».

Transcription effectuée par La Nouvelle Tribune

lundi 3 avril 2017

Popularité du président Patrice TALON toujours en baisse, en chute libre au BENIN




Quelques mois seulement après son assession au pouvoir, la côte de popularité du président TALON entame aussitôt sa chute libre, sa descente. Des mesures impopulaires et brutales ont accéléré cette impopularité du président. Des mesures ayant trait à la chasse à l'homme font partie de sa chute de popularité
-La mise en application brutale des décisions prises dans différents conseils des ministres.

-Ecartements des bras valides du pays à commencer par son challenger d’affaires, son plus proche concurrent en affaires Mr ADJAVON Sébastien.

- La destruction brutale de milliers de petits commerces à travers tout le pays au nom d’un programme de réhabilitation des villes du BENIN, en oubliant qu’aucun pays ne peut véritablement s’urbaniser au bout de 5 ans.

- La destruction du marché des médicaments d’Adjégounlè et l’interdiction de vente des médicaments provenat de ce marché sous prétexte de la vente de faux médicaments ou de médicaments ne respectant pas les normes de l’Oms. OUI, tout cela est bon. Mais les autorités actuelles, avant de détruire ce marché, devraient se mettre à la place de la pauvre population du BENIN. Malheureusement, elles ont agi comme s’elles viennent tous d’ailleurs, comme s’elles ne connaissaient pas bien le BENIN, alors qu’elles ne sont pas comme l’ex premier ministre Lionel ZINSOU qu’elles avaient accusé à maintes reprises de ne pas connaitre le pays lors des débats télévisés des campagnes électorales passées.

Les autorités actuelles semblent ne pas bien connaitre le BENIN. Sinon, comment mettre fin brutalement et radicalement fin à la vente des médicaments qui arrivaient à soulager les béninois des campagnes et villes de leurs petits maux de tête, de ventre, de dents, de courbature, …etc. Ces autorités disent conseiller les pharmacies, seuls lieux oû il faut acheter les médicaments. OUI, cela est aussi bien. Mais, ils devraient savoir qu’il n’y a suffisamment pas de pharmacies pour couvrir la population. Combien de pharmacies pour combien d’habitants ?

Les quelques pharmacies existantes, combien sont installées dans les campagnes surtout qu’il s’agit des pharmacies privées qui ne s’installent pas n’importe où. Avant de s’installer dans une zone, une pharmacie doit être sûre qu’il y a de la population suffisante et économiquement bien pour l’écoulement de leurs produits. Avec cette étude de marché, les populations des campagnes sont délaissées par les pharmacies.

Toute une très grande partie du BENIN est exclue de la couverture des pharmacies et le gouvernement actuel n’a pas deviné tous ces paramètre et aspects de la chose avant de mettre fin unilatéralement à la vente des médicaments dits des rues qui a pourtant sauvé des milliers et des milliers de béninois depuis la nuit des temps.

Si aucun gouvernement précédent n’a mis fin à cette vente jusqu’à présent, c’est parce qu’il connaissent bien le pays et savent que l’ETAT lui-même doit doter les campagnes et localités éloignées des pharmacies bien équipées avant de passer à la phase d’interdiction des médicaments dits des rues.

Cet acte d’interdiction des médicaments dits des rues fait beaucoup plus de mal et aucun bien pour la population.

Aller dans les campagnes et voyez un parent à qui l’enfant souffle de la fièvre grave à partir de 00Heure et qui n’a aucun sou pour l’amener à l’hôpital, la pharmacie étant absente et que l’hôpital se trouvant à plus de 7km. Que faire cette nuit-là alors que ce parent avait la possibilité de taper la porte de la vendeuse de paracétamol à côté de sa maison et le jeu est fait. L’enfant trouve sa guérison.

Le gouvernement, pour ne plus faire trop souffrir les parents et les enfants en cas de maladies infantile devrait trouver une solution concrète et pratique au lieu de dire ‘’aller payer les médicaments à la pharmacie’’

Cette déclaration n’est que théorique et non pratique. Tous les béninois qui connaissent vraiment leur pays le BENIN savent que cette décision et déclaration n’a rien à voir avec la réalité.

Cette affaire de médicament est probablement l’une des causes de l’impopularité du président TALON

De multiples probables dérapages du pouvoir actuel ont certainement amené le ministre de la défense Mr Candide AZANNAI à la démission.

Que DIEU Garde le BENIN. Le BENIN vaincra !!!