mardi 18 avril 2017

Avril 2017, Le BENIN sur la liste des pays trafiquant de le cocaïne au Monde

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Les autorités américaines viennent de mettre le BENIN sur la triste liste des pays narcotrafiquant de drogue au monde.
IL (le BENIN) vient de faire partie d’une liste de douze pays africains dont l’Afrique du Sud, l’Algérie, le Cap Vert, l’Egypte, le Ghana, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Maroc, le Nigeria, le Sénégal et la Tanzanie.
Face à ce constat fait, le Département d’ ETATS Américain a dû placé le BENIN et consorts sous la surveillance particulière du Narcotics Contrôl Bureau.
Cette sanction américaine infligée par les autorités américaines ne sera pas sans conséquence. Elle agira à cours sûr sur la nouvelle demande de visa pour le pays de l’Oncle.
Notons que les ETATS-UNIS s’oppose depuis longtemps aux narcotrafiquant oû qu’ils soient dans le monde. Prochainement, les USA réfléchiront par deux fois avant d’octroyer un visa à un béninois.

vendredi 14 avril 2017

Sébastien ADJAVON convoque l'ETAT béninois en justice



En novembre 2016, l'ancien candidat à la présidentielle et homme d'affaires était dans le box des accusés car 18 kg de cocaïne avaient été retrouvés dans un conteneur appartenant à sa société. Aujourd’hui, c’est lui qui attaque l’État béninois pour avoir attenté à ses droits et à sa réputation. Un préjudice qu’il évalue à 250 milliards de francs CFA, soit 380 millions d'euros.

Il n’y va pas de main morte. Dans la même semaine, Sébastien Ajavon soumet l’État béninois à deux assignations coup sur coup. En effet, le mardi 4 avril 2017, il porte une première plainte devant le tribunal de première instance de Cotonou pour « dénonciation calomnieuse tendant à nuire à sa réputation » dans l’affaire des 18 kg de cocaïne découverts dans un des conteneurs de sa société Comon Cajaf au port de Cotonou.

Dans sa plainte déposée contre X, l’opérateur économique fustige notamment le fait d’avoir été arbitrairement détenu à la Compagnie de gendarmerie de Cotonou durant toute une semaine. Selon ses avocats Maîtres Yaya Pognon et Issiaka Moustapha, toute cette « manœuvre tendait à salir principalement son image de marque ».

La même semaine, toujours via ses deux avocats, le roi de la volaille a saisi la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) concernant des dysfonctionnements dans la procédure : son arrestation au port, sa détention par la Compagnie de gendarmerie, jusqu’aux agissements du Parquet de Cotonou.

le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité

L’homme d’affaires estime que ses droits ont été violés, notamment le droit à un procès équitable garanti par l’article 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Par exemple, pour les avocats, la prorogation de la garde à vue de Sébastien Ajavon a été décidée « sans preuve ». Au-delà de la violation de ses droits, le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité vis-à-vis de ses partenaires d’affaires et que cela a eu pour conséquence le ralentissement de ses activités commerciales.

L’homme d’affaires évalue tout le dommage qu’il en a subi à la somme de 250 milliards de francs CFA. Au point que, en février, il avait quitté le conseil d’administration du groupe qu’il a fondé, Comon SA, pour préserver l’image de son entreprise.
« La main de l’exécutif a pesé »
Pour ses avocats, « il est sans équivoque que la main de l’exécutif a pesé dans le dossier. Et cette main avait un seul objectif : écarter un rival politique devenu trop gênant puisque trop populaire ».

Du côté du gouvernement, on se refuse à tout commentaire. Même si les journaux réputés proches de la présidence ont vertement dénoncé cette procédure judiciaire engagée par Ajavon, l’accusant de vouloir se nourrir des les maigres ressources de l’État, ou lui rappelant opportunément le « pardon » qu’il a accordé la nuit de sa libération sur les parvis de l’église St Michel de Cotonou.

L’affaire des 18 kg de cocaïne avait été jugée le 4 novembre 2016 par le tribunal de première instance de Cotonou. Au terme d’une audience de plus de 10 heures, Sébastien Ajavon avait été relaxé pour « insuffisance de preuves » et « au bénéfice du doute ». Cette affaire avait mis au grand jour la déliquescence des relations entre les deux alliés de la dernière présidentielle au Bénin en 2016.

Arrivé en troisième position au premier tour de ce scrutin, Ajavon, en faiseur de roi, avait soutenu Patrice Talon, l’actuel président béninois contre un accord de participation à la gestion du pays. Un accord qui lui garantirait, entre autres, la moitié des postes ministériels ; mais il n’obtiendra que trois ministères (communication, agriculture, enseignement secondaire) sur lesquels il n’a aucune mainmise puisque ces derniers sont « gérés depuis la présidence ».

Le précédent Talon/Yayi
Dans la conscience collective à Cotonou, les dommages et intérêts salés demandés par Sébastien Ajavon rappellent la sentence rendue par la Cour commune de justice et d’arbitrage d’Abidjan le 13 mai 2014.

L’État béninois avait été condamné à verser 142 milliards de francs CFA à un certain Patrice Talon dans le cadre d’un contrat lié au Programme de vérification des importations (PVI), unilatéralement annulé par le gouvernement de Boni Yayi.

Officiellement, Talon a renoncé à récupérer son dû. L’histoire nous dira si Ajavon aura, éventuellement, le même fair-play vis-à-vis du Trésor public du Bénin.


Source: Jeune Afrique

mercredi 5 avril 2017

L’Etude du projet de révision de la Constitution rejetée par l’Assemblée Nationale





Depuis des lustres, alors que le président TALON faisait de ce projet de révision de la constitution est une priorité, les béninois par la voie de leurs élus à l’Assemblée ont rejeté ce projet qu’il dorlotait depuis son accession au pouvoir il y a 1 an.

Jusqu’à un passé récent encore, les béninois croyait que le président TALON avait réussi à ranger de son côté la majorité des députés de notre Assemblée.

Force était de constater depuis ce mardi 04 Avril 2017 que les choses ne s’étaient plus passée comme aurait souhaité le président Patrice TALON.

Mais, que s’est-il passé en réalité pour qu’on en arrive à la volonté contraire de celle du président ?

A notre seul avis, ce qui aurait le plus jouer dans le rejet de l’étude de révision serait tout d’abord

1) la démission du célèbre ministre Mr Candide AZANNAI qui a toujours été le principal soutien du président Patrice TALON bien même avant son élection à la tête du BENIN et qui est l’un des hommes les plus écoutés par la population et ces paires politiciens.

2) La 2ème raison probable serait l’accusation toute chaude de l’honorable Rosine SOGLO contre les honorable qui auraient pris de l’argent afin de voter en faveur de la révision de notre constitution. Que cette accusation soit vraie ou fausse, elle aurait joué un grand rôle psychologique en faveur du rejet de ce projet de loi.

Rappelons que lors du vote à l’Assemblée, 60 parlementaires ont voté pour, 22 contre et une abstention.
Pour que le dossier puisse être étudié, il doit falloir une majorité des 3/4 soit 63 parlementaires, ce qui n’a pas pu être le cas ce mardi à l’Assemblée Nationale.
Puis juste après ce vote soldant sur la victoire des antirévisionnistes les députés exigent des excuses publiques de l’honorable Mme Rosine SOGLO.
Quel est le contenu de son accusation de corruption à l’encontre de ses pairs députés ?


Voici une transcription de cette accusation :

« Vous venez mentir ici et dire le contraire de ce que le peuple vous a dit. Ça ce n’est pas bien, ‘’égnon ah’’. Ce n’est pas bien du tout. Vous oubliez. Je sais que les réseaux sociaux, il ne faut pas les écouter, parce que là aussi oh mon Dieu ! Qu’est-ce qu’on ne raconte pas comme connerie ! Mais tout de même, nous savons ce qui se passe dans le peuple, nous savons ce que le peuple vous a dit, nous le savons. Pourquoi venir mentir ici ? Le peuple ceci, le peuple cela. C’est votre droit le plus absolu de voter pour. Le peuple n’a rien à dire. Vous avez dit je vote pour telle raison, j’ai le droit, c’est votre droit de voter pour.
Personne n’a rien à dire contre ça, personne. Mais ne venez pas ternir la vérité. Je sais que notre libre arbitre pour terminer monsieur le président parce que… je m’échauffe, je m’échauffe ; comme d’habitude, chassez le naturel, il revient au gallot. Pourtant comme disent mes petits-enfants, granini à ton âge, mais tu dois quand même te calmer ! Mais qu’est-ce que tu as ?
Et ils ont mille fois raison. Mais c’est quoi ! à 83 ans tu fais encore tout ça ! Alors cela étant, je dis que notre libre arbitre a été altéré par un achat massif de notre conscience. Je comprends que c’est ça qui prend dessus et votons et votons et gnangnan et gnangnan ! … Les quelques millions que nous avons reçus, ah oui ! Ont pris le dessus sur le reste ! Alors taisons-nous, votons et n’en parlons plus. Je préfère ça, je préfère ça. Car moi aussi j’ai reçu d’argent. Oui ! Tout le monde. Vous n’allez pas me dire le contraire. S’il y a des changements notables, je suis prête à voter la Constitution, mais sinon, c’est non. Pour le moment, c’est non. Monsieur le président, je vous remercie. ».

Transcription effectuée par La Nouvelle Tribune

lundi 3 avril 2017

Popularité du président Patrice TALON toujours en baisse, en chute libre au BENIN




Quelques mois seulement après son assession au pouvoir, la côte de popularité du président TALON entame aussitôt sa chute libre, sa descente. Des mesures impopulaires et brutales ont accéléré cette impopularité du président. Des mesures ayant trait à la chasse à l'homme font partie de sa chute de popularité
-La mise en application brutale des décisions prises dans différents conseils des ministres.

-Ecartements des bras valides du pays à commencer par son challenger d’affaires, son plus proche concurrent en affaires Mr ADJAVON Sébastien.

- La destruction brutale de milliers de petits commerces à travers tout le pays au nom d’un programme de réhabilitation des villes du BENIN, en oubliant qu’aucun pays ne peut véritablement s’urbaniser au bout de 5 ans.

- La destruction du marché des médicaments d’Adjégounlè et l’interdiction de vente des médicaments provenat de ce marché sous prétexte de la vente de faux médicaments ou de médicaments ne respectant pas les normes de l’Oms. OUI, tout cela est bon. Mais les autorités actuelles, avant de détruire ce marché, devraient se mettre à la place de la pauvre population du BENIN. Malheureusement, elles ont agi comme s’elles viennent tous d’ailleurs, comme s’elles ne connaissaient pas bien le BENIN, alors qu’elles ne sont pas comme l’ex premier ministre Lionel ZINSOU qu’elles avaient accusé à maintes reprises de ne pas connaitre le pays lors des débats télévisés des campagnes électorales passées.

Les autorités actuelles semblent ne pas bien connaitre le BENIN. Sinon, comment mettre fin brutalement et radicalement fin à la vente des médicaments qui arrivaient à soulager les béninois des campagnes et villes de leurs petits maux de tête, de ventre, de dents, de courbature, …etc. Ces autorités disent conseiller les pharmacies, seuls lieux oû il faut acheter les médicaments. OUI, cela est aussi bien. Mais, ils devraient savoir qu’il n’y a suffisamment pas de pharmacies pour couvrir la population. Combien de pharmacies pour combien d’habitants ?

Les quelques pharmacies existantes, combien sont installées dans les campagnes surtout qu’il s’agit des pharmacies privées qui ne s’installent pas n’importe où. Avant de s’installer dans une zone, une pharmacie doit être sûre qu’il y a de la population suffisante et économiquement bien pour l’écoulement de leurs produits. Avec cette étude de marché, les populations des campagnes sont délaissées par les pharmacies.

Toute une très grande partie du BENIN est exclue de la couverture des pharmacies et le gouvernement actuel n’a pas deviné tous ces paramètre et aspects de la chose avant de mettre fin unilatéralement à la vente des médicaments dits des rues qui a pourtant sauvé des milliers et des milliers de béninois depuis la nuit des temps.

Si aucun gouvernement précédent n’a mis fin à cette vente jusqu’à présent, c’est parce qu’il connaissent bien le pays et savent que l’ETAT lui-même doit doter les campagnes et localités éloignées des pharmacies bien équipées avant de passer à la phase d’interdiction des médicaments dits des rues.

Cet acte d’interdiction des médicaments dits des rues fait beaucoup plus de mal et aucun bien pour la population.

Aller dans les campagnes et voyez un parent à qui l’enfant souffle de la fièvre grave à partir de 00Heure et qui n’a aucun sou pour l’amener à l’hôpital, la pharmacie étant absente et que l’hôpital se trouvant à plus de 7km. Que faire cette nuit-là alors que ce parent avait la possibilité de taper la porte de la vendeuse de paracétamol à côté de sa maison et le jeu est fait. L’enfant trouve sa guérison.

Le gouvernement, pour ne plus faire trop souffrir les parents et les enfants en cas de maladies infantile devrait trouver une solution concrète et pratique au lieu de dire ‘’aller payer les médicaments à la pharmacie’’

Cette déclaration n’est que théorique et non pratique. Tous les béninois qui connaissent vraiment leur pays le BENIN savent que cette décision et déclaration n’a rien à voir avec la réalité.

Cette affaire de médicament est probablement l’une des causes de l’impopularité du président TALON

De multiples probables dérapages du pouvoir actuel ont certainement amené le ministre de la défense Mr Candide AZANNAI à la démission.

Que DIEU Garde le BENIN. Le BENIN vaincra !!!