mardi 12 décembre 2017

Diminuer le taux de mortalité au CNHU de Cotonou

En référence à mon article précédent, voici une des solutions que nous proposons à qui de droit : Diminuer le taux de mortalité au CNHU de Cotonou :
Pour être sûr de pouvoir réellement diminuer le taux de mortalité au CNHU, le gouvernement doit tout faire pour maitriser les mouvements de grève à répétition au CNHU comme il en a fait avec succès aux mouvements estudiantins du campus.
Pour réussir dans le cas du CNHU, le gouvernement doit instaurer un décret qui lui donne droit dans un 1er temps d’amputer le salaire de tous les grévistes du CNHU selon le nombre d’heures de grèves dans le mois s’il juge une grève fantaisiste et non nécessaire. " De la dictature !٭ dirons certains.
NON, la vie de tout un peuple ne peut pas être marchandée contre de l’argent. Du moment où ces médecins et infirmiers ont le nécessaire pour vivre et faire vivre leur famille, c’est largement suffisant. Si vous entendez le montant de leurs salaires, vous serez d’accord avec moi qu’ils ont le nécessaire pour vivre et mieux et en plus, ils ont presque tous leurs cabinets privé où ils reçoivent les patients en privé.
Est-ce pour cela qu’ils négligent leur travail au CNHU et font passer la rage de la mort sur les pauvres béninois qui n’ont pas l’intuition d’aller se faire soigner dans un de leurs cabinets privés ?
Dans un 2ème temps, pour réussir, le gouvernement doit se donner la force et le pouvoir de pouvoir traduire en justice pour homicide volontaire les grévistes de CNHU si dans la période de leurs grèves survient le décès de malade.
La dernière possibilité est de se désengager totalement du CNHU en le confiant à la privées ou association ou groupes par appel d’offre international.
Trop c’est trop, le CNHU a ses mains souillées du sang innocent. Que le gouvernement se lève et mette fin à cette effusion de sang innocent au CNHU.

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